Ceux qui me suivent régulièrement savent combien je déplore, depuis deux ans, le manque d’intérêt total, à quelques rares exceptions prêts comme le blog ePagine qui est un des rares à prendre en considération notre production, des libraires pour mettre en avant le catalogue des éditeurs 100% numériques. Rendez-vous compte, ce serait une hérésie totale, une certaine trahison de la chaîne du… du mot que je me suis interdit de prononcer que de valoriser une fois de temps en temps le travail des pure-players comme ils nous appellent. Vous savez, y’a du bon et y’a du mauvais dans nos catalogues, nous n’avons pas la prétention d’être les meilleurs et y’a autant de bon que du mauvais dans le catalogue des éditeurs traditionnels, surtout au Québec où pour toucher les sacro-saintes subventions du ministère de la Culture, il faut vite se dépêcher de sortir des titres pour atteindre son quota, sinon pas de subventions. Pour les pure-players, les subventions, ça n’existe pas. Et c’est tant mieux.
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