Publié le 2 décembre 2011
Par Noël Godin
Prix La Boétie
Vies et mort du capitalisme, de Robert Kurz, Lignes. Les études critiques impitoyables réunies ici que mène le fer de lance Kurz du mouvement allemand Krisis, à qui l’on doit le fameuxManifeste contre le travail, n’y vont pas avec le dos de la cuillère. Elles montrent que « le capitalisme n’est pas victime d’un déséquilibre momentané, mais d’une contradiction interne qui le conduit à son effondrement inexorable ». Que, « dans ce contexte de crise finale, les diverses politiques économiques sont vouées à l’échec ». Que « la gauche officielle et la plupart des anticapitalistes autoproclamés participent à la gestion de la crise ». Qu’il n’y a dès lors qu’une seule solution : la révolution.
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