Publié le : 21 novembre 2011
Il y a une trentaine d’années, je fus ébloui à la lecture d’un roman d’Alexandre Papadiamantis (1855-1911) Les petites filles et la mort qui avait été traduit aux éditions François Maspero. La puissance de cet ouvrage a été saluée par tous les auteurs phares de son pays et soulignée en maintes occasions par Milan Kundera. Fort heureusement, ce chef-d’œuvre est à nouveau disponible, depuis 2003, grâce à la collection de poche des éditions Actes Sud.
Ce choc éprouvé en lisant le grand romancier grec du XIXe siècle, je ne l’ai jamais ressenti à nouveau sinon ces-jours ci en lisant avidement et fébrilement le roman de Michela Murgia Accabadora (Seuil, 2011) dans la traduction inspirée que nous en donne Nathalie Bauer, déjà traductrice de plus de cent ouvrages italiens en français dont des œuvres de Primo Levi et Natalia Ginzbug.
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