21-11-11 à 16:43 par Le Nouvel Observateur
ENTRETIEN. Il déteste la Russie mais adore sa littérature: après Dostoïevski, Tchekhov ou Gogol, André Markowicz retraduit aujourd’hui Pouchkine ainsi que les poètes de son temps. Rencontre avec un passionné.
«Portrait de Pouchkine à sa table de travail», par Piotr Kontchalovski (XIXe siècle). ©Josse-Leemage/ADAGP
Voici un livre unique, écrit par un auteur sans pareil. Connu pour son étonnante traduction de Dostoïevski qui avait déclenché une nouvelle bataille d’Hernani, André Markowicz s’attaque à Pouchkine et à ses contemporains. Il rend ainsi justice à tous ces poètes du romantisme russe qui, pour avoir écrit dans l’ombre du divin Alexandre, demeurent encore aujourd’hui méconnus en France: Batiouchkov, Baratynski, Gnéditch, Viazemski et les autres
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