15 novembre 2011 par Emily
Ville noire, ville blanche est un de ces romans qui suscitent la polémique et les passions : l’on aime, ou l’on déteste. Du fait d’un sujet choc, d’une violente latente, et d’un rythme très lent, le livre peut fortement déplaire, comme il peut séduire son lecteur.
L’histoire a tout du fait divers sordide qui hante les pages du New York Times : une jeune femme blanche se fait voler sa voiture dans un quartier difficile de la banlieue new-yorkaise et se réfugie, les mains en sang, dans un hôpital. Une histoire somme toute banale…Mais la voiture de la jeune Brenda n’était pas vide : son fils, quatre ans, dormait à l’arrière.
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