15 Novembre 2011 Par Patrice Beray
Ecrire sous la contrainte, cela se peut, mais de quoi ? Du monde en premier lieu, forcément, tel qu’il s’arrange, dans les communautés humaines, pour ne jamais tenir ses promesses. Rarement pareil constat de coercition a été intégré, pris à son compte par l’écriture poétique, comme dans l’œuvre de cet «introuvable» des lettres américaines que fut George Oppen (1908-1984). Que l’on ne s’y trompe pas, la toute récente parution de la Poésie complète du poète new-yorkais, traduite par Yves di Manno, est un événement considérable.
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