La presse de Bourgogne en folie réunit « 750 coquilles et autres drôleries de la presse bourguignonne ». Photo LBP
Ayant lui-même participé bien involontairement à ce bêtisier, l’auteur bourguignon fait son mea culpa. Avec beaucoup d’humour.
Les rédacteurs redoutent les erreurs et les lecteurs en sont friands. Les coquilles, boulettes, perles, le bêtisier de la presse écrite, créent l’angoisse des journalistes et correspondants de la presse écrite, surtout lorsque le Canard Enchaîné s’en fait l’écho, mais restent jubilatoires pour ceux qui les lisent.
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