La chronique livres de Bernard Pivot
22 octobre 2011 | Mise à jour le 23 octobre 2011
La dernière fois que Vladimir Nabokov est venu en France, c’était à Paris, en mai 1975, pourApostrophes. Ainsi achevait-il une longue fréquentation commencée avec sa mère en 1901 – il n’avait que deux ans et demi –, puis en 1903 et 1907, sur la Côte d’Azur et à Biarritz. En 1919, fuyant la révolution bolchevique, c’est à Marseille qu’il débarqua avec toute sa famille. L’exil serait désormais son pays.
Éditeur de Nabokov dans la Pléiade, parfait connaisseur de la vie et de l’œuvre du grand écrivain russe, traducteur entre autres deLolita, Maurice Couturier dresse l’inventaire « de tout ce qui rattache ce génial auteur, souvent érotique, toujours raffiné et éminemment cultivé, à la France et à la culture française ».
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