Par Laurent Martinet (LEXPRESS.fr), publié le 14/10/2011 à 12:30, mis à jour à 18:51
Sans audace, pas de littérature. Didier van Cauwelaert a fait d’un arbre le héros de son dernier roman, et passe le test de la page 99.
L’éditeur anglais Ford Madox Ford (1873-1939) aurait un jour prétendu qu’il pouvait juger de la qualité d’un manuscrit à la lecture de sa seule page 99, comme un coup de sonde en plein coeur du livre. Le Journal intime d’un arbre, le dernier roman de Didier van Cauwelaert, passe le fameux test.