Rédigé par Jean Montaldo, le lundi 26 septembre 2011 à 11h54
Cher confrère,
Votre relation des faits dans l’article du 23 septembre sur le nouveau procès perdu par l’ancien PDG de Vivendi Universal est parfaitement exacte. (voir notre actualitté)
Pour être complète, il conviendrait que vous ayez le texte du jugement déboutant Jean-Marie Messier et le condamnant à nous payer des dommages et intérêts pour « abus de constitution de partie civile », ce qui, entre parenthèses, est rarissime.
Je tiens à votre disposition les extraits de cette sentence exemplaire… en ce qu’elle fait droit à ce que j’ai déclaré aux magistrats composant le Tribunal appelé à nous juger:
« En somme, condamné en janvier 2011, par le Tribunal correctionnel de Paris, pour les actes qu’il a commis à la tête de Vivendi Universal - ceux-là mêmes dont j’avais dressé l’inventaire dans ma Lettre ouverte aux bandits de la Finance, publiée par les Éditions Albin Michel en juin 2009 -, Monsieur Jean-Marie Messier demande maintenant à votre Tribunal, en nous condamnant, de vous transformer en Chambre de blanchiment… de sa réputation. »
Lire la suite :