Par Hubert Artus | Rue89 | 03/09/2011 | 16H15 C’est un fait qui se confirme de rentrée en rentrée : la fiction française se dénombrilise, va voir le monde, bande pour l’imaginaire. Diminuant ainsi, petit à petit, la proportion des romans « parigocentrés » et de l’autofiction. Illustration au cœur de cette rentrée 2011, avec Véronique Ovaldé, Estelle Nollet et Patrice Pluyette, des auteurs pour qui la littérature est …