Aucun livre ne fait mieux sentir la magie criminelle du brouillard que les mystères de Londres de Paul Féval, trait d’union entre les romans libertins et cruels à la Clarisse Harlowe et le roman policier à la Wallace, œuvre touffue, parfois balzacienne, parfois d’une absurdité sublime, mais pleine de couleur et d’atmosphère, d’où émane un Londres fantastique…
Paul Morand
Londres, 1933, p. 97.