Par Hubert Artus | Rue89 | 14/08/2011 | 19H13
Pseudonymes et masques sont des pratiques courantes en littérature. Synonymes de liberté, de protection ou bien d’un changement de genre. Mais qu’apporte exactement ce brouillage des pistes ? Dans le monde 2.0, est-il encore une assurance ? Témoignage de trois auteurs aux noms d’emprunt.
Il y a la supercherie mythique : Romain Gary/Emile Ajar, un seul homme pour deux Goncourt.
Il y a ceux qui tombèrent vite, et eux-mêmes, le masque : Joyce Carol Oates/Lauren Kelly/Rosamond Smith ou encore Donald Westlake, avec ses huit pseudonymes connus. Chez ces auteurs, à un nom de plume correspond un genre littéraire précis de leur panoplie plurielle.
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