Si la Fnac venait à fermer définitivement ses portes, l’événement serait-il considéré avant tout comme purement économique ou spécifiquement culturel ? On imagine que l’information naviguerait dans les journaux entre les deux rubriques au gré de ses conséquences avant de finir commentée ad nauseam dans les pages « Débats » où fleurissent les phénomènes de société. C’est un peu ce qui s’est passé ces derniers mois aux Etats-Unis, à ceci près que la fin annoncée et redoutée de Borders n’est plus désormais qu’un articulet dans la rubrique sociale.
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