Je dirai (…) de Bérénice que c’est moins une tragédie qu’une comédie de cœur, une comédie-roman (…) qui allait donner le ton à la Princesse de Clèves.
Charles-Augustin Sainte-Beuve
Portraits littéraires, t. 1, 1844, p. 122
Je dirai (…) de Bérénice que c’est moins une tragédie qu’une comédie de cœur, une comédie-roman (…) qui allait donner le ton à la Princesse de Clèves.
Charles-Augustin Sainte-Beuve
Portraits littéraires, t. 1, 1844, p. 122
Alors ? Vous y êtes ? Rédigé par Cecile Mazin, le mardi 15 février 2011 à 08h52 Radio e…