Le culte américain de la réussite et de la mère parfaite bouleverse aussi la donne en Israël. Censées être totalement dévouées à leur progéniture, tout en travaillant et en affichant leur épanouissement, les femmes craquent. Épuisées, culpabilisées, frustrées par le décalage entre le rêve et la réalité.
En arrivant à l’école maternelle essoufflée, juste avant la fermeture, Michal Taitel était convaincue d’être la pire mère au monde. Sa réunion de travail s’était éternisée, les embouteillages avaient été épouvantables et elle s’était imaginé que sa fille pleurait à chaudes larmes.
Lire la suite (payante) : http://www.booksmag.fr/societes-et-politique/israeliennes-au-bord-de-la-crise-de-nerfs/