Je dirai (…) de Bérénice que c’est moins une tragédie qu’une comédie de cœur, une comédie-roman (…) qui allait donner le ton à la Princesse de Clèves
Charles-Augustin Sainte-Beuve
Portraits littéraires (1844 et 1876-78), 3 volumes, t. 1, 1844, p. 122