Franz Schubert agonisant se trompait: «On ne prononcera plus jamais le nom de Schubert, plus jamais.» Du moins le Franz auquel Pierre Charras donne la parole dans Le requiem de Franz.
Petit et gras, orphelin de mère, jeune homme de 31 ans n’ayant vécu que pour la musique et les amis avec lesquels il s’enivrait. Malade d’avoir trouvé, face à l’absence d’amour, une maigre consolation dans la fréquentation des prostituées, qu’il appelait toutes Thérèse, femme inaccessible dont la voix avait porté son chant.
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