C’est seulement quelques mois après la parution, que Paul Souday, l’arbitre officiel des lettres, (…) s’est occupé de moi. Son article était d’ailleurs tout farci de reproches : il me chicanait longuement sur mes imparfaits du subjonctif… Cependant, il me consacrait cinq colonnes de son feuilleton hebdomadaire.
Roger Martin du Gard
Souvenirs autobiographiques, 1955, p. LIX
sophiebeauharnais
3 juillet, 2011 à 1:53
En laissant ce commentaire, j’ai bien peur de faire comme Paul Souday… c’est-à-dire de te consacrer cinq colonnes de mon blog personnel ! Mais vraiment, si on y pense bien, quelquefois (et plutôt presque toujours) on laisse un commentaire dans l’espoir d’être commenté en retour ! Je plaisante… Néanmoins, cette citation est très bien choisie ! Je te baisse mon chapeau…