Par Ellen Salvi
Après les médias, le soi-disant «politiquement incorrect» se décline en livres. Des textes aux relents nauséabonds, stigmatisant les banlieues, moquant les «bien-pensants» et livrant une vision catastrophiste de l’immigration, connaissent un vif succès. Ce type d’ouvrages est aujourd’hui mis en avant par les plus grands éditeurs avec un argument: faire marcher le commerce.