Miguel Ángel Asturias est un poète, écrivain et diplomate guatémaltèque, prix Nobel de littérature. Né à Guatemala le 19 octobre 1899, il est mort à Madrid le 9 juin 1974 et a été inhumé à Paris, au cimetière du Père-Lachaise (division 10).
Œuvres
Poésie
Rayito de estrellas (1925 – volume de poésies),
Cien de Alondra (1948)
Clarivigilia primaveral (1965). Claireveillée de printemps, Gallimard, 1966.
Contes et nouvelles
Leyendas de Guatemala (1930). Légendes du Guatemala, Gallimard, 1953. Transcription de légendes mayas. Œuvre majeure.
Le Miroir de Lida Sal (1967 – nouvelles),
Romans
El señor Presidente (1946). Monsieur le Président, prix du Meilleur livre étranger. Portrait d’un dictateur sudaméricain, comme l’avait fait Ramón del Valle-Inclán avec Tirano Banderas et le feront après lui Gabriel García Márquez dans L’Automne du patriarche, Augusto Roa Bastos dans Yo el supremo, et Vargas Llosa dans La Fiesta del chivo.
Hombres de maíz (1949) . Les Hommes de Maïs. Son chef d’œuvre. Œuvre typique du réalisme magique et dénonciation de l’exploitation colonialiste.
Viento fuerte (1950). L’Ouragan, Gallimard, 1955.
El Papa verde (1954). Le Pape Vert
Week-end au Guatemala (1956),
Los ojos de los enterrados (1960). Les Yeux des enterrés.
Mulata de tal (1963). Une certaine mulâtresse.
Maladrón (1969)
Viernes de dolores (1972). Vendredi des douleurs.
El árbol bajo la cruz (posthume – 1993 – écrit dans les derniers mois de 1973). L’Arbre de la croix.
Livres pour la jeunesse
El hombre que lo tenía todo todo todo (1981). L’Homme qui avait tout tout tout, Gallimard folio junior, 1978
La Machine à parler, folio benjamin, 1999
Théâtre
La Audiencia de los Confines (1957)
L’œuvre d’Asturias comprend également des poèmes dont certains en prose, une anthologie de poésie précolombienne (1966), du théâtre et de nombreux articles de journaux.
D’après Wikipédia.