La romancière a été récompensée pour L’Odeur du figuier. Puis, le programme du festival de musique classique de Ramatuelle a été dévoilé
Au premier rang, Simonetta Gregorio auprès du directeur de la Messardière, Alexandre Durand-Viel. On reconnaît également Jean Brousse (à gauche) et à ses côtés Marie-Christine Imbault. A droite, Olivier Bellamy et Claude Sérillon.© Jean-Marc Rebour
L’hôtel de la Messardière est une terre d’accueil pour les artistes. Un refuge. Un lieu d’où l’inspiration jaillit entre calme et beauté. Le directeur général de cet établissement auréolé de cinq étoiles, Alexandre Durand-Viel, a perpétué la tradition, en initiant la première édition du prix du roman de l’été. Idée originale que le jury a saluée lors de la remise des prix qui a eu lieu samedi, en fin d’après-midi.
Un auditoire de 200 personnes
La cérémonie s’est passée devant un parterre de quelque deux cents personnes toutes unies par une double passion : les lettres et la musique. En effet, le rendez-vous était double, puisque la présentation du 2e festival de musique classique de Ramatuelle figurait en ouverture de la cérémonie.
Une fois les dernières notes éteintes, Jean Brousse, président du jury littéraire, ajouta à la chaleur ambiante son humour et sa joie de vivre : « Ce prix n’existait pas, pourtant il y en a quantité. Je n’ose pas vous dire combien. En revanche, chaque année, soixante-dix mille livres sont vendus. Comme le meilleur moment pour la lecture, c’est en période estivale, il était logique qu’un livre d’évasion, de soleil, grand public et d’extrême qualité soit couronné… »
La présentation du jury a débuté par les absents, Laure Adler, Daniel Martin et Pierre Lescure étaient retenus à Paris pour raisons professionnelles, « mais ont lu les seize ouvrages en lice et participé à tous les votes ».
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