de passouline Les critiques littéraires n’ont pas trop le moral. Il n’est de gazette qui ne célèbre leurs funérailles. Ce qui leur paraît légèrement prématuré, bien que la réduction à la portion congrue des suppléments littéraires des grands quotidiens américains n’incline pas à l’optimisme. La source de leurs maux est ailleurs : la faute à internet. Si les blogs, sites et …