Dalloz n’a pas même lu mon manuscrit ; il l’a fait lire par son secrétaire, lequel lui a déclaré «que c’était tellement ennuyeux que la publication était impossible».
Gustave Flaubert
Correspondance, 1878, p. 139.
Dalloz n’a pas même lu mon manuscrit ; il l’a fait lire par son secrétaire, lequel lui a déclaré «que c’était tellement ennuyeux que la publication était impossible».
Gustave Flaubert
Correspondance, 1878, p. 139.
Par Clément Monjou Si vous possédez un Kindle, vous n’êtes pas forcément le plus fervent…