@font-face { font-family: « Times New Roman »; }@font-face { font-family: « Arial »; }p.MsoNormal, li.MsoNormal, div.MsoNormal { margin: 0cm 0cm 0.0001pt; font-size: 11pt; font-family: « Times New Roman »; color: black; }a:link, span.MsoHyperlink { color: blue; text-decoration: underline; }a:visited, span.MsoHyperlinkFollowed { color: purple; text-decoration: underline; }div.Section1 { page: Section1; }
mercredi 22 décembre 2010 – 07h:33
Elizabeth Grech – BabelMed
1948, la « Nakba » (la catastrophe), des millions de Palestiniens sont contraints à l’exode. Dès lors la littérature palestinienne aura plusieurs résidences. Elle sera écrite par les Palestiniens de l’intérieur (ceux qui habitent Israël et les Territoires palestiniens), mais aussi par les Palestiniens éparpillés aux quatre coins du monde. Pas surprenant alors que des thèmes comme l’exil, l’isolement, l’identité, la perte, la nostalgie, l’attente, l’injustice, l’oppression, l’espoir scandent de manière lancinante leur production littéraire.
Selon le philosophe et historien français Georges Didi Huberman, la position de l’exilé prédispose à porter un regard critique sur la guerre car l’exil implique une prise de distance, un certain détachement par rapport aux événements. Les écrivains palestiniens en exil écrivent aussi dans d’autres langues, en anglais par exemple. Ce qui induit, là encore, une certaine distance.
Lire la suite :