« Si les premiers ouvrages composés au Maroc se rapportaient essentiellement aux sciences coraniques, aux traditions prophétiques, à la lexicographie et à la grammaire, ce furent à partir du 12-ème siècle de l’ère chrétienne des livres de philosophie, de commentaires d’ouvrages grecs, de mystique, de médecine qui sont composés sur incitation des souverains almohades », a-t-il fait remarquer dans son exposé sur « les manuscrits arabes anciens en Afrique du Nord et subsaharienne » présenté vendredi à la conférence sur la préservation des anciens manuscrits africains qui se tient au siège de la Commission économique pour l’Afrique (CEA) à Addis-Abeba.
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