Il fut un temps, à l’autre siècle déjà, où le pouls de la vie littéraire battait à un rythme plus rapide deux fois par semaine : le matin du jeudi, où Angelo Rinaldi signait sa page dans L’Express, et le soir du vendredi, où Bernard Pivot recevait à « Apostrophes ». L’un aussi redouté que l’autre était espéré. Depuis, le premier a …