George Sand

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George Sand est le pseudonyme d’Amantine Aurore Lucile Dupin, romancière et écrivain française, plus tard baronne Dudevant, née à Paris (anciennement au n° 15 de la rue Meslay, au 46 actuellement, 3e arrondissement) le 1er juillet 1804 et morte à Nohant le 8 juin 1876.

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Elle a écrit des romans, des nouvelles, des contes, des pièces de théâtre, une autobiographie, des critiques littéraires, des textes politiques.

Elle a fait scandale par sa vie amoureuse agitée, par sa tenue vestimentaire masculine dont elle a lancé la mode, par son pseudonyme masculin qu’elle adopte dès 1829,  et dont elle lance aussi la mode : après elle, Marie d’Agoult signe ses écrits Daniel Stern (1841-1845), Delphine de Girardin prend le pseudonyme de Charles de Launay en 1843.

Extraits de la bibliographie

Lélia (roman, 1833), Jacques (roman, 1834), Leone Leoni (roman, 1835), Simon (roman, 1836), Mauprat (1837), Le Compagnon du tour de France (roman, 1841), Mouny Roubin (1842), La Comtesse de Rudolstadt (roman,1843), Consuelo (roman, 1843), Jeanne (roman, 1844), Le Meunier d’Angibault (roman, 1845), La Mare au diable (roman, 1846), Isidora (roman, 1846), Teverino (roman, 1846), Les Noces de campagne (roman, 1846), La Petite Fadette (roman, 1849), François le Champi (roman, 1850), La Fauvette du docteur (1853), Les Maîtres sonneurs (1853), Adriani (1854), Flaminio (théâtre, 1854), Histoire de ma vie (autobiographie, 1855), Autour de la table (1856), La Daniella (1857), Le Diable aux champs (1857), Promenades autour d’un village (1857), Elle et lui (récit autobiographique sur ses relations avec Musset, 1859), L’Homme de neige (1859), Narcisse (1859), Les Dames vertes (1859), Constance Verrier (1860), La Ville noire (1861), Valvèdre (1861), La Famille de Germandre (1861), Le Marquis de Villemer (1861), Tamaris (1862), Mademoiselle La Quintinie (1863), Les Dames vertes (1863), Antonia (1863), ( La Confession d’une jeune fille (1865), Laura (1865), Monsieur Sylvestre (1866), Le Don Juan de village (théâtre, 1866), Flavie (1866), Le Dernier Amour (1867), Mademoiselle Merquem (1868), Pierre qui roule (1870), Le Beau Laurence (1870), Journal d’un voyageur pendant la guerre (1871), Francia. Un bienfait n’est jamais perdu (1872), Nanon (1872), Les Deux Frères (1875), Marianne (1876), Légendes rustiques (La Reine Mab. La Fée qui court. Fanchette) (1877).

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