Avec le « Fou de livres » de Sébastian Brant, la couverture montre la volonté des éditeurs de constituer une collection d’images « fortes » relatives au livre ancien.
L’éditorial, pardon, la « Lettrine », pose la question de savoir pourquoi les grandes institutions de langue française, dont les Bibliothèques municipales classées, ne sont pas toutes abonnées à la Revue ?
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