Par Gabriel Landini, conférencier à la pathologie analytique, à l’école de l’art dentaire de l’Université de Birmingham, Angleterre, et René Zandbergen, analyste fonctionnel et conseiller dans le secteur de l’espace, Darmstadt, Allemagne.
Imaginez un livre écrit dans un alphabet inconnu, dans une langue inconnue, à une date et un lieu inconnus. Un tel livre a t il pu être lu? Pourrait on rechercher l’information qu’il contient? Ce n’est pas une question insignifiante et il a dérouté les historiens et les scientifiques pour la plupart d’un siècle, dans le cas d’un document médiéval particulier, appelé « le Manuscrit Voynich ».
En 1912, Wilfrid M. VOYNICH (un marchand de livres rares, anglais mais d’origine polonaise) a acheté un certain nombre de manuscrits médiévaux d’une source que d’abord il n’a pas révélée en Europe. Parmi ces derniers était un manuscrit de 235 pages écrit dans une écriture inconnue et ce qui semble être une langue inconnue ou un chiffre. Tout naturellement, Voynich voulait faire déchiffré le manuscrit et il a fourni des copies photgraphique du manuscrit mystérieux à un certain nombre d’experts. Cependant, le livre reste toujours non lu. Depuis lors, le manuscrit a été connu comme « le Manuscrit Voynich » (prononcé « Voïnitch » en français).
Figure 2. Un photostat des folios 77v et 78r de la collection de FRIEDMAN. Les folios 77v et 78r font partie de la section « biologique ». On a associé les figures aux croquis des organes anatomiques: ovaires, utérus et vaisseaux sanguins (dessus de f77v), région intestinale (f77v, droite) et organes reproducteurs masculins (Jacques GUY) (à gauche). L’équipe de FRIEDMAN a probablement fait le numérotage à côté du texte aux photostats; le numérotage n’apparaît pas dans l’original. Reproduction par la courtoisie de la Fondation Marshall, Lexington, la Virginie, États Unis d’Amérique.
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